QUINTAS DE MELGAÇO - AGRICULTURA E TURISMO, S.A.

Le Domaine de Lagravière, connu depuis toujours pour la qualité de son terroir, est acheté à la fin du XVIIIe siècle par la famille du comte Hippolyte de Maurès de Malartic. Grand serviteur des rois de France, il guerroya comme amiral contre les Anglais sur bien des mers du globe et s’illustra notamment en 1756 lors de la bataille du Québec. La propriété fut rachetée en 1850 par Madame Arnaud Ricard qui accola le nom de Malartic à celui de Lagravière en hommage aux anciens propriétaires. Remembré et complété par quelques petites parcelles, le Domaine acquiert alors la physionomie qu’il conservera jusque dans les années 1950. La famille Marly sera la dernière de la lignée Ricard à gérer le Château. Plus particulièrement, Jacques Marly prendra la direction du Domaine en 1947 et l’administrera jusqu’en 1990.

Carillon d’Angélus est né avec le millésime 1987. Au fil des années, il a acquis sa propre identité. Reflet du niveau d’exigence des équipes du domaine, il est issu d’un pourcentage variable de merlot, cabernet franc et cabernet sauvignon sélectionnés sur différents terroirs de Saint Emilion. Les vinifications et l’élevage sont précisément adaptés à son style. Il est apprécié pour la pureté de ses arômes de fruit, pour ses tannins veloutés et sa finale élégante.

Juché sur le plateau calcaire de Saint-Émilion, le Château de Pressac surplombe la vallée du fleuve Dordogne. Ici, la géologie remarquable conjuguée à un microclimat favorise l’épanouissement de la vigne. Du vignoble aux installations techniques,valorisations et agrandissements se succèdent régulièrement : chai de vinification entièrement repensé en 1999, deuxième chai de vinification en 2012, troisième chai de vinification et deuxième chai d’élevage décidés en 2017. Sur le toit végétalisé du nouveau chai, des plantes mellifères sont spécialement destinées aux abeilles de la propriété. Depuis leur acquisition en 1997, Jean-François et Dominique Quenin ont décidé de vivre à la propriété. Leurs choix sensibles, à la vigne comme au chai, s’appuient sur une appréhension du temps long et l’inscription durable du domaine et des vins dans le temps